Tu bourgeonnes dans ma tête Et tu t'enfonces dans mon cerveau Tu fais ressortir la bête Et je sais que tu aimes les animaux Encore une fois, j'en ai trop dit J'ai perdu ta confiance On s'ra ensemble dans une autre vie Car tu me sembles heureuse Et puis de toute façon J'ai déjà perdu ma chérie Oh non, au nom De la monogamie Encore liés par la fibre C'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre C'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi Ma tête en tempête, ta tête en tempête Pour la vie, pour la nuit Encore liés par la fibre C'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre C'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi J'entre par la fenêtre, sors par la fenêtre Pour la vie, pour la nuit Et si seulement tu m'avais dit, ah ah, ah Tout simplement j'aurais dit oui Ah oui T'es tellement belle quand tu souris Que j'en perds ma conscience Je t'aime, mais je l'aime, elle aussi Mais tu me sembles heureuse Et puis de toute façon J'ai déjà perdu ma chérie
Tu bourgeonnes dans ma tête
Et tu t'enfonces dans mon cerveau
Tu fais ressortir la bête
Et je sais que tu aimes les animaux
Encore une fois, j'en ai trop dit
J'ai perdu ta confiance
On s'ra ensemble dans une autre vie
Car tu me sembles heureuse
Et puis de toute façon
J'ai déjà perdu ma chérie
Oh non, au nom
De la monogamie
Encore liés par la fibre
C'est du ciment sournois
J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi
Affaiblis par la fièvre
C'est chacun chez soi
Avoue que tu en vois d'autres que moi
Ma tête en tempête, ta tête en tempête
Pour la vie, pour la nuit
J'entre par la fenêtre, sors par la fenêtre
Et si seulement tu m'avais dit, ah ah, ah
Tout simplement j'aurais dit oui
Ah oui
T'es tellement belle quand tu souris
Que j'en perds ma conscience
Je t'aime, mais je l'aime, elle aussi
Mais tu me sembles heureuse
Oh non, au nom De la monogamie Encore liés par la fibre C'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre C'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi Ma tête en tempête, ta tête en tempête Pour la vie, pour la nuit Encore liés par la fibre C'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre C'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi J'entre par la fenêtre, sors par la fenêtre Pour la vie, pour la nuit Et si seulement tu m'avais dit, ah ah, ah Tout simplement j'aurais dit oui Ah oui Quand tu rugis, tu rougis La bouche pleine de confettis Et tu danses, danses, danses toute la nuit Et je chante sans soucis Que la vie est belle sans jalousie Et tu danses, danses, danses toute la nuit Quand tu rugis, tu rougis La bouche pleine de confettis Et tu danses, danses, danse toute la nuit Et je chante sans soucis Que la vie est belle sans jalousie Et tu danses, danses, danses toute la nuit Et on chante sans soucis Que la vie est belle sans jalousie Et on danse, danse, danse toute la nuit...
Quand tu rugis, tu rougis
La bouche pleine de confettis
Et tu danses, danses, danses toute la nuit
Et je chante sans soucis
Que la vie est belle sans jalousie
Et tu danses, danses, danse toute la nuit
Et on chante sans soucis
Et on danse, danse, danse toute la nuit...
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